Voici un aperçu des principaux types de cloisons intérieures que nous pouvons utiliser dans la rénovation de votre habitat. N'hésitez pas à nous questionner car nous mettons notre expérience à votre service.
Les cloisons dites "sèches"
Les cloisons en panneaux de plâtre

Ces cloisons permettent de couvrir de grandes surfaces, et offrent une bonne isolation acoustique. Elles sont donc parfaites pour créer de nouveaux espaces dans votre habitation.

Avec du savoir-faire, ces cloisons se prêtent à beaucoup de compositions architecturales comme vous pouvez le constater sur la photo ci-contre.

Pour une pièce humide, nous vous conseillons la pose de panneaux hydrofugés, résistants à la condensation et aux projections d’eau. Ces cloisons vous permettent aisément d’intégrer tous vos câblages électriques, alimentations d'eau et tuyaux de chauffage. Leur isolation acoustique varie de 39 à 50 dB selon les modèles et leur résistance au feu est environ d’une demi-heure

Autre avantage, ce type de cloison peut facilement intégrer des isolants à glisser lors du montage entre deux panneaux. Vous pouvez ainsi y placer des plaques d’isolant en laine de roche, laine de verre, ou autres matériaux écologiques (laine de mouton, plume de canard…).

 
Les cloisons en panneaux alvéolaires
Il s'agit de deux plaques de plâtre, souvent des BA 10, réunies par une âme cartonnée en forme de nids d'abeille. Elles sont généralement fixées au moyen d'un montant en bois et d'un rail métallique en pied.
Les cloisons en matériau alvéolaire sont relativement économiques et constitue une alternative appréciable quand le poids peut constituer un problème, comme par exemple dans des combles. La plupart du temps, elles sont épaisses de 5 cm.
 
Les cloisons dites "à matériaux humides"
Les carreaux de plâtre
Les carreaux de plâtre sont une invention d'après-guerre. Blocs de plâtre massif mesurant 66 x 50 cm et disponibles dans des épaisseurs allant de 5 à 10 cm, ils ont équipés de tenons et de mortaises pour s'emboîter les uns dans les autres, ce qui permet un montage rapide d'une cloison d'aspect relativement fini. Une fois leurs côtés rainurés encollés, ils s'ajustent en effet très facilement les uns aux autres. Il faut compter en général trois éléments pour monter un mètre cube de cloison.
 
Les briques
Il s'agit la plupart du temps de modèles creux qu'on appellent « briques plâtrières », épais de 5 à 7 cm. On trouve aussi des carreaux qu'on assemble avec de la colle. La cloison est maçonnée et recouverte sur ses deux faces de plaques de plâtre ou d'un enduit à base de plâtre. La solution briques ou carreaux de terre cuite est idéale en contre-cloison, par exemple pour l'habillage d'un mur dégradé. Parfaitement ininflammables, ce sont aussi d'excellents isolants acoustiques et thermiques.
 
Les blocs de béton cellulaire
D'une épaisseur de 5 à 10 cm, les blocs de béton cellulaire se présente sous forme de blocs de 62,5 x 25 cm ou 62,5 x 50 cm. Légers, ils conviennent parfaitement dans le cas de bâtiments dont les planchers ne peuvent supporter de lourdes charges. Le maçonnage et la finition des surfaces s'effectuent alors avec des produits spécialement adaptés.
 
Les cloisons en pavé de verre
Poser une cloison en pavé de verre permet de séparer une pièce tout en bénéficiant de l’éclairage naturel de celle-ci. Pour une telle construction, il existe une grande variété de dimensions et de couleurs de pavé de verre, ainsi que divers possibilités d’ossatures d’assemblage. Bien que non porteuse, cette structure renforcée par des tiges de métal insérées dans le mortier est relativement robuste.

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